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Le choix porté sur le Kosovo pour servir de sparring-partner aux Lions avait soulevé la polémique dans le landernau footballistique sénégalais. Avec le carton ramassé mercredi contre la réserve de la sélection turque, les Lions sont obligés de gagner. Avec la manière.

Cette équipe a suscité beaucoup de polémique au Sénégal car son football n’est pas encore entièrement reconnu par la FIFA et l’UEFA parce que la Serbie considère le Kosovo comme une ancienne province. C’est seulement en janvier 2014 que le Kosovo, qui a déclaré son indépendance en 2008 avec une population composée à 90% d’Albanais, a obtenu de l’instance faitière du football mondial l’autorisation de disputer des matchs contre des sélections nationales. Seulement, l’une des conditions est que l’équipe kosovare n’arbore pas de symboles nationaux, drapeaux, emblèmes, et hymnes.

Pourtant, le Kosovo a des joueurs qui émergent à l’étranger. Mais, faute de reconnaissance, il assiste impuissant au départ de ses footballeurs qui ne peuvent jouer les grandes compétitions européennes avec leur pays d’origine. Ce dimanche au stade La Praille de Genève, le Kosovo va livrer le troisième match international de son histoire après le match nul (0-0) contre Haïti et la déculottée (1-6), à domicile, essuyée devant la Turquie.

Les kosovars pourront compter sur leur colonie en Suisse forte de 200 000 personnes.

Cette équipe a suscité beaucoup de polémique au Sénégal car son football n’est pas encore entièrement reconnu par la FIFA et l’UEFA parce que la Serbie considère le Kosovo comme une ancienne province. C’est seulement en janvier 2014 que le Kosovo, qui a déclaré son indépendance en 2008 avec une population composée à 90% d’Albanais, a obtenu de l’instance faitière du football mondial l’autorisation de disputer des matchs contre des sélections nationales. Seulement, l’une des conditions est que l’équipe kosovare n’arbore pas de symboles nationaux, drapeaux, emblèmes, et hymnes.

Pourtant, le Kosovo a des joueurs qui émergent à l’étranger. Mais, faute de reconnaissance, il assiste impuissant au départ de ses footballeurs qui ne peuvent jouer les grandes compétitions européennes avec leur pays d’origine. Ce dimanche au stade La Praille de Genève, le Kosovo va livrer le troisième match international de son histoire après le match nul (0-0) contre Haïti et la déculottée (1-6), à domicile, essuyée devant la Turquie.

Les kosovars pourront compter sur leur colonie en Suisse forte de 200 000 personnes.

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