Ferdinand Coly n’est pas adepte de la langue de bois. Critiqué de tout bord depuis quelques temps, le team manager de l’équipe nationale répond à ses détracteurs. L’ex-capitaine des Lions qui a accordé un entretien à Ndamli.sn a, notamment, évoqué la sortie épistolaire de son ami El Hadj Diouf, à son endroit, tout en se prononçant sur le match retour des Lions le 13 Octobre prochain.
Sortie au vitriol de Diouf
Je ne suis pas au courant de ce qui a été dit dans les journaux. Si El Hadji préfère faire la différence dans les journaux, c’est son problème. Il a mon numéro de téléphone. De toute façon, moi je vais le croiser, et ce que je vais lui dire, je le lui dirai en face. Je le connais, il me connait. Je prendrai le temps de vérifier si c’est lui qui l’a dit. Si c’est le cas, ça le regarde, moi cela ne me fait ni chaud ni froid.
Critiques tous azimuts
On se permet de critiquer à gauche et à d’autre. Certains entraineurs locaux disent que je suis coach, je les rassure. Je ne suis pas entraineur, ça ne m’intéresse pas. Si je voulais être entraineur, je l’aurais été, il y’a longtemps. Jamais, je ne serais entraineur.
Je ne suis pas parti car, il y’a eu une continuité. Je ne pouvais pas me permettre de quitter le bateau. Il y’avait une transition à assurer entre l’ancienne et la nouvelle équipe.
Avenir dans le staff des Lions
Il y’a des joueurs qu’on a perdu de vue. Je tiens à leur dire que l’équipe appartient à tout le monde. Des garçons comme Mame Birame Diouf, ou Rémi Gomis, qui étaient blessés et qu’on a enterrés, peuvent encore revenir, un jour. L’équipe n’appartient à personne. Personne n’est indispensable, moi en premier. Le jour où j’estimerai avoir donné le maximum, je m’en irai. Je ne suis pas là pour faire une carrière.
Sénégal-Côte d’Ivoire
Au match-aller, les ivoiriens n’ont jamais été acculés sur leurs bases, depuis des années. Il y a eu 20 minutes d’errements, vers la fin. Il faut s’appuyer sur les bonnes choses qui ont été faites, durant ces 75 minutes.
A domicile, ce sera notre match ; il faudra être très fort défensivement. Il va falloir que les joueurs se surpassent. On joue chez nous, à Dakar, tout est possible et on va gagner.
Qualification ou élimination des « Lions »
Tout le monde sait que c’est un match couperet, ça passe ou ça casse. Si ça passe, on sera les plus heureux, si ça ne passe pas, il ne faut pas tout jeter à la poubelle. Il y’a une belle génération qui est sur place.
Quoi qu’il arrive, il faudra avoir le sentiment du travail bien fait. Le résultat sera ce qu’il sera. L’essentiel, qu’on puisse se regarder dans les yeux et se dire qu’on a fait ce qu’on a pu faire, on a tout donné. Si, par malheur, on ne passe pas, on analyse, on prend du recul, chacun prendra ses dispositions et suivra sa route.
Source: Ndamli
On se permet de critiquer à gauche et à d’autre. Certains entraineurs locaux disent que je suis coach, je les rassure. Je ne suis pas entraineur, ça ne m’intéresse pas. Si je voulais être entraineur, je l’aurais été, il y’a longtemps. Jamais, je ne serais entraineur.
Je ne suis pas parti car, il y’a eu une continuité. Je ne pouvais pas me permettre de quitter le bateau. Il y’avait une transition à assurer entre l’ancienne et la nouvelle équipe.
Avenir dans le staff des Lions
Il y’a des joueurs qu’on a perdu de vue. Je tiens à leur dire que l’équipe appartient à tout le monde. Des garçons comme Mame Birame Diouf, ou Rémi Gomis, qui étaient blessés et qu’on a enterrés, peuvent encore revenir, un jour. L’équipe n’appartient à personne. Personne n’est indispensable, moi en premier. Le jour où j’estimerai avoir donné le maximum, je m’en irai. Je ne suis pas là pour faire une carrière.
Sénégal-Côte d’Ivoire
Au match-aller, les ivoiriens n’ont jamais été acculés sur leurs bases, depuis des années. Il y a eu 20 minutes d’errements, vers la fin. Il faut s’appuyer sur les bonnes choses qui ont été faites, durant ces 75 minutes.
A domicile, ce sera notre match ; il faudra être très fort défensivement. Il va falloir que les joueurs se surpassent. On joue chez nous, à Dakar, tout est possible et on va gagner.
Qualification ou élimination des « Lions »
Tout le monde sait que c’est un match couperet, ça passe ou ça casse. Si ça passe, on sera les plus heureux, si ça ne passe pas, il ne faut pas tout jeter à la poubelle. Il y’a une belle génération qui est sur place.
Quoi qu’il arrive, il faudra avoir le sentiment du travail bien fait. Le résultat sera ce qu’il sera. L’essentiel, qu’on puisse se regarder dans les yeux et se dire qu’on a fait ce qu’on a pu faire, on a tout donné. Si, par malheur, on ne passe pas, on analyse, on prend du recul, chacun prendra ses dispositions et suivra sa route.