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 D’abord la sortie de Kara Mbodji, dès la 15e mn de jeu, qui a conduit à une nouvelle organisation de la défense. Mais aussi les décisions de l’arbitre gabonais. Et surtout la maladresse dont on fait preuve les joueurs sur les multiples coups de pied arrêtés dont ils ont bénéficié.

« Quand j’ai visionné le match, j’ai noté qu’il y avait des fautes ou erreurs d’arbitrages. D’abord, il y a eu des hors-jeux sifflés qui n’existaient pas et pénaltys non accordés. Pour dire, cela fait longtemps que je n’avais pas vu ce genre d’arbitrage. Ce n’est pas pour me justifier que je parle de tout ça, mais ce sont des choses qui ont pesé sur la balance. Ce n’était pas normal et c’est malheureux », confie Alain Giresse.

L’autre aspect négatif que le sélectionneur souligne porte sur les coups de pieds que ses joueurs on vendangés à longueur de match. « On n’était pas bon sur les ballons arrêtés. Pourtant, lors des séances d’entrainements, on les avait travaillés avec succès. C’est dommage, car ces coups pieds arrêtés pouvaient débloquer le score », déplore-t-il.

Par rapport au jeu des « Aigles de Carthage » qui a gêné les Lions, Giresse constate que « les Tunisiens étaient venus avec un système ultra défensif. Ils avaient aussi un comportement pour gagner du temps, comme l’on fait le gardien et quelques joueurs ». Et pour ce qui est du rendez-vous de mercredi à Monastir, il confie : « On va rectifier certaines chose et faire tout pour obtenir un bon résultat ».

C’est indispensable pour maintenir les chances de qualifications des Lions.

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