Dans une interview accordée au site de la FIFA, Robert Lewandowski, attaquant vedette et capitaine de la Pologne, parle de l’équipe nationale du Sénégal et la préparation de son équipe nationale.
Répondant à la question sur les points forts des «Lions» du Sénégal, le capitaine de la Pologne soutient que «les coéquipiers de Sadio Mané sont très bons en contre-attaque. Quand ils attaquent, ils le font très vite. Ils ne perdent pas de temps quand ils ont le ballon. Ils essaient d’avancer et de tirer des coups aussi rapidement que possible’’. Avant de poursuivre que ‘’le Sénégal est une équipe vraiment dangereuse’’.
Dans cet entretien, Robert Lewandowski n’a pas manqué de revenir sur cette pression qui pèse sur les épaules de leur équipe nationale du fait de la proximité géographique de la Pologne avec la Russie. La star polonaise le sait bien qu’un match d’entrée n’est jamais facile, malgré une bonne phase de préparation avec des matchs amicaux avec à la clé trois buts marqués lors des deux derniers matches amicaux contre le Chili et la Lituanie. ‘’Nous verrons. Les amicaux ne sont pas trop importants. Le moment important arrive maintenant. Je veux que ma faim pour les objectifs soit encore plus grande. Et bien sûr, j’espère que plus de buts viendront sur la plus grande étape – la Coupe du Monde’’ ; Poursuit-il
La défense sénégalaise aura gros à faire face cet attaquant mondialement connu, le meilleur tireur de la qualification européenne avec 16 buts.
Robert Lewandowski a clairement manifesté ses ambitions : ‘’je veux jouer un très bon football ici. Je veux aider mon équipe de la meilleure façon possible – avec mes efforts individuels et mes coups de feu. En tant qu’équipe, nous voulons progresser ici et je sais que j’ai une tâche à accomplir’’.
Le joueur âgé aujourd’hui de 30 ans garde encore de bons souvenirs de sa première coupe du monde en tant que fan. ‘’Mes premiers souvenirs sont ceux de la Coupe du Monde en 1998 – Brésil, France, de si belles équipes. J’étais un enfant et j’ai vraiment aimé ce tournoi. Alors bien sûr, 2002, avec la participation de la Pologne. Je devais revenir de l’école plus tôt que d’habitude – j’ai sauté les deux dernières leçons – que les jeux, en raison du décalage horaire, étaient très tôt en Pologne. J’ai gardé mes doigts croisés pour la Pologne et j’étais heureux que la Pologne ait participé à un événement aussi merveilleux. Oui, je m’en souviens encore très bien. Et maintenant je suis là’’.