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« Comme toute grande compétition, la réussite de la phase finale est grande partie liée à la préparation. Il faut savoir passer du temps ensemble, vivre ensemble, s’entraîner ensemble au quotidien, avec une idée commune en tête. C’est une donnée importante. En plus, compte-tenu du changement de pays, on va devoir s’adapter aux conditions sur place. Nous serons à Mongomo, dans une petite ville tout à fait charmante et agréable, mais qui n’a rien, aucune infrastructure sportive. Il y a un terrain d’entraînement, plus un autre à une heure de route. Le tout pour quatre équipes. Notre hôtel n’est pas bon. Ça peut avoir des répercussions sur le comportement des joueurs et des incidences sur la performance. C’est dommage », a dit l’entraîneur du Sénégal au micro de RMC.

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