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Si le match qui doit opposer le Sénégal à l’Angola le 23 mars prochain au stade du 28 septembre prochain devait se tenir aujourd’hui, les supporters des «Lions» ne devraient pas s’en faire. Du moins si l’on s’en tient Le sélectionneur national, Alain Giresse a confié à la presse hier, mercredi que son équipe « est déjà prête».

Alors que les «Lions» n’ont fait que deux jours à Conakry ponctués par deux séances d’entraînement assez légères (mardi et mercredi), leur sélectionneur, Alain Giresse affiche la confiance. «Mon équipe est prête», a déclaré le technicien français en marge de la séance d’entraînement tenue sur la pelouse du stade du 28 septembre. «Je dispose des joueurs professionnels», ajoute-t-il sans toutefois faire de commentaire sur l’adversaire.

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«Je ne dirai pas un mot sur la sélection angolaise. Toutefois », s’est-il empressé de préciser, « si c’est la même équipe qui a joué la CAN 2013 qui a été reconduite, cela me permettra au moins de les connaitre, puisque j’ai vu cette équipe jouer alors dans son groupe». Sur la question de l’état de la pelouse, le technicien français estime qu’elle est «haute et bonne». «Maintenant », ajoute M. Giresse, « il faut la laisser haute, de ce fait, elle sera protégée. Elle sera tondue pour le jour du match afin qu’elle puisse donner un peu de fluidité au ballon».

En revanche, la récurrence des questions relatives à la chaleur ont fini par agacer le sélectionneur des « Lions ». «Je peux avoir toutes les inquiétudes du monde mais je n’ai pas le pouvoir de changer la température. Alors il faut faire avec», a-t-il répondu. Et d’ajouter : «je suis pragmatique, parce que face à des situations qu’on ne maitrise pas, ça ne sert à rien de perdre le temps là-dessus. Maintenant, nous ferons tout ce qu’il faut pour nous adapter et faire face à cette température. C’est-à-dire s’entrainer, s’adapter, récupérer, boire».

Mieux, fait-il remarquer : «Nous avons des joueurs professionnels qui sont préparés physiquement pour faire face à des situations pareilles. On parle de chaleur ici, alors qu’il y en a qui sont confrontés à un problème de froid en Europe. Parfois, ils jouent sur des pelouses gelées. C’est dire qu’il faut aussi avoir la capacité de s’adapter à différentes conditions».

Il faut noter que la séance matinale d’hier a été plus consistante que celle de mardi. Même si elle n’a duré qu’un tour d’horloge. Selon Alain Giresse, «Il y avait une base un peu athlétique dans ce que nous faisions et après, nous étions dans l’élaboration de notre collectif. Ce sont les grandes lignes. Nous allons terminer ce travail le soir (hier, Ndlr), dans la plus grande discrétion», a-t-il déclaré.

 

 

Sudonline

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