L’affaire Ismail Jakobs, initialement déclaré forfait pour blessure avant d’être aligné par Galatasaray, a fait écho dans la presse française, rappelant le cas de Kylian Mbappé. Plusieurs médias ont salué la gestion stricte de la Fédération sénégalaise de football (FSF).
Maxifoot titre « Sénégal : un cas à la Mbappé géré avec autorité », tandis que Le Figaro évoque « la libération forcée » de Jakobs. RMC Sport parle d’« une affaire Mbappé », où la FSF a imposé à Galatasaray la mise à disposition de Jakobs, annoncé blessé puis aligné en SüperLig.
Football.fr souligne que « Le Sénégal donne la leçon à la France », en faisant référence à la gestion de Mbappé, où la Fédération française s’était montrée plus conciliante avec le Real Madrid. Cette affaire révèle l’autorité croissante de la FSF sur la scène internationale, en particulier lorsqu’il s’agit de faire respecter les engagements des clubs européens envers leurs joueurs internationaux.
Sénégal vs Malawi
Début du regroupement des Lions 🇸🇳 pic.twitter.com/055X40MEDk
— Galsenfoot (@Galsenfootsn) October 7, 2024
Sports.fr parle d’une « réponse cinglante » de la FSF, montrant que, contrairement à l’affaire Mbappé, le Sénégal a su réagir rapidement en demandant à ce que Jakobs se présente pour faire constater sa blessure, conformément aux règlements en vigueur.
Cette situation a mis en lumière la capacité de la FSF à défendre ses intérêts, tout en envoyant un message clair aux clubs : les joueurs sélectionnés doivent respecter leurs engagements avec l’équipe nationale, sous peine de sanctions.