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Toujours inefficace avec Newcastle, Papiss Demba Cissé pense que le match contre la Côte d’Ivoire est une bonne opportunité pour retrouver le chemin des buts qui lui manque tant.

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Comment voyez-vous le match de samedi contre la Côte d’Ivoire ?

C’est du costaud, la Côte d’Ivoire, mais ça reste un match de foot. Nous savons qu’on a un grand match à faire. Donc il faut être prêt physiquement, tactiquement et mentalement. Ce sera le point le plus important. J’ai confiance en mes coéquipiers. Mais il faut dire la vérité. Il faudra se battre du début à la fin, faire un match plein.

Qu’est-ce qui peut caractériser chacune des deux équipes ?

Comme l’ont dit mes coéquipiers, ce sera la jeunesse sénégalaise contre l’expérience ivoirienne. Mais ça reste un match de foot. Ils ne vont pas nous laisser passer gratuitement comme ça. Ils ont envie d’aller au Mondial comme nous. Il faut se battre, mouiller le maillot. Ce sont de grands joueurs qui sont en face.

Ce sera une revanche pour vous après la double défaite de l’année dernière ?

On ne va dire que c’est un match de revanche. Il faut certes se souvenir des petites erreurs qu’on a faites, afin de ne pas les répéter. Mais je pense qu’on a oublié le match de l’année dernière. C’est un match de foot et une qualification au bout. L’essentiel, c’est de se préparer pour gagner le match. Mais dire que c’est une revanche, non. Il s’agit de jouer le match, mouiller le maillot et sortir la tête haute. On a intérêt à oublier ce qui s’est passé l’année dernière.

Pour se qualifier il faudra marquer des buts…

C’est sûr ! Là, on est en train de se préparer, de travailler devant les buts. Je pense que samedi, ça va payer.

Comment vivez-vous la pression ?

Non, il n’y a pas de pression. Je vais mouiller le maillot, si je suis aligné. L’objectif c’est de mouiller le maillot pour ne pas avoir des regrets au bout.

Avec Newcastle, vous tardez à retrouver votre efficacité. Peut-on s’attendre au réveil de Papiss avec les «Lions» à Abidjan?

Je sais marquer des buts. Je ne viens pas juste de commencer le métier. Je n’ai pas encore de la chance d’avoir les ballons pour les mettre au fond. J’espère qu’avec les «Lions», j’aurais la chance.

L’ambiance sera  électrique samedi au stade  Félix Houphouët Boigny ?

Je n’ai pas peur de l’ambiance dans le stade d’Abidjan. Nous avons joué dans des stades qui font plus de 85 000 personnes. On sait que c’est en Afrique, ça va bouger. Mais on est prêt pour ça.

Comment retrouvez-vous la «Tanière» après votre match de suspension ?

C’est un plaisir de retrouver mes coéquipiers et frères. Comme je l’ai toujours dit, l’équipe nationale c’est ma deuxième famille. C’est un grand plaisir de les retrouver. Je suis content d’être là.

 

WaaSport/Galsenfoot

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