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« En décidant de jouer à Conakry, on ne pouvait faire qu’un mauvais choix », laisse entendre cet ancien footballeur qui a préféré garder l’anonymat. En particulier, il indexe l’étroitesse du terrain. En à croire notre interlocuteur, ce terrain qui est réduit ne favorise qu’une équipe en quête d’un résultat nul. Et ça sera le cas du prochain adversaire des «Lions» du Sénégal, les «Palancas Negras» de l’Angola. 
« Les dimensions du terrain sont très petites et c’est un élément majeur qui risque de peser sur la rencontre du 23 mars à Conakry », renchérit-il. Pour cet ancien footballeur, il est plus facile de défendre sur un terrain large que d’attaquer sur un terrain réduit. En guise d’exemple, il nous renvoie à la rencontre des huitièmes de finales entre le Milan Ac et le Fc Barcelone.  « Au match aller, les Italiens avaient profité de l’étroitesse de leur terrain pour contraindre les Barcelonais alors qu’au retour, les Espagnols ont bénéficié de la largeur du Camp Nou pour écarter leur jeu face à des Milanais condamnés à se défendre », explique-t-il. Toujours dans son réquisitoire contre les fédéraux, il estime que l’étroitesse du terrain fait souvent que le Sily National de Guinée gagne rarement à domicile.
Seneweb

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