Leyti N’Diaye, confirmez-vous que vous quittez l’OM ?
Oui. C’est sûr. Je suis en fin de contrat et les dirigeants ne m’ont rien proposé.
Etes-vous déçu ?
Non. Nous n’avons même pas discuté. C’est compréhensible après la saison que je viens de passer. J’avais prolongé il y a deux ans quand mes performances le permettaient. Le club comptait sur moi à ce moment-là. Ensuite, j’ai eu beaucoup de soucis.
Cette saison encore vous avez joué de malchance…
Je n’ai pas eu de chance. Au départ, Elie Baup m’a fait jouer. J’ai fait toute la préparation puis je me suis blessé. A mon retour, il m’aligne d’entrée en Turquie et je me blesse encore. Après, l’équipe a commencé à tourner. Lucas Mendes s’est imposé. C’est le foot. C’est la vie.
« Une touche en Grèce »
Savez-vous où vous allez poursuivre votre carrière ?
En France, ça ne bouge pas. Je n’ai aucun contact. Mon agent travaille. A mon retour de vacances, nous verrons les propositions. Il y a une touche en Grèce. Mais je ne veux pas m’avancer. Tant qu’il n’y a rien de signé, cela ne vaut pas la peine d’en parler. Mais j’espère trouver rapidement.
Quels souvenirs garderez-vous de l’OM ?
J’ai signé mon premier contrat professionnel. Ça compte forcément. Je garde beaucoup de bons souvenirs. C’est normal après toutes ces années ! (Rires) L’OM, c’est l’OM. C’est très fort. Mais j’ai connu aussi plein de soucis…
