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Cet été, Cheikh Ndoye a beau avoir changé de club et de division, rien n’a vraiment évolué. Samedi, à Montpellier (2-0), le colosse sénégalais a effectué des débuts tonitruants en Ligue 1, brassard au bras et au-dessus du lot dans l’entrejeu.
Comme à Créteil (2012-2015, National puis L2). Et comme à Epinal auparavant (2009-2012, CFA puis National). Ce n’est pas à vingt-neuf ans que l’international sénégalais va prendre peur, et il l’a bien montré à La Mosson. Récupération, percussion, présence offensive : Ndoye a été partout, tout le temps. Et à vrai dire, ça ne nous étonne pas.
Car ceux qui suivent la Ligue 2 avec attention connaissent le potentiel du bonhomme. Et ce n’est pas faire injure à Créteil de souligner que le natif de Rufisque n’avait plus rien à faire à l’étage inférieur, a fortiori dans une équipe qui y joue le maintien. Un maintien dû en partie, d’ailleurs, à l’abattage et aux buts (vingt-et-un en deux saisons) de Cheikh Ndoye. Porté par l’activité et la puissance de son numéro 17, le SCO est donc le premier leader du Championnat. Pour le promu comme pour son milieu de terrain, reste à assumer et à confirmer. Même pas peur.

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