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Aurait-il été sur la short-list si Puma n’avait pas introduit sa candidature dans la pile de dossiers parvenus à la fédération ? C’est la question que se posent beaucoup de Sénégalais depuis l’annonce du nom du technicien allemand. Et la question est loin d’être saugrenue. Grand inconnu de la liste restreinte des cinq retenus pour le sprint final, Volker Finke doit en réalité sa position, en partie, à l’équipementier des Lions qui voit en lui l’homme idéal pour changer l’image de l’équipe nationale du Sénégal. Un facteur qui en fait un favori pour la succession de Joseph Koto à la tête de la Tanière.

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« Parce qu’ils ne sont pas aussi des philanthropes (et) qu’ils ne jettent pas leur argent par la fenêtre », les propriétaires de Puma ne voudraient certainement pas faire venir leur compatriote pour rien. Même s’il n’a jamais entraîné un grand club, encore moins une équipe nationale, l’ancien entraîneur de Fribourg, qui ne compte à son palmarès que deux titres de champion de Deuxième division d’Allemagne, ne manque finalement pas grand-chose pour espérer damer le pion à ses concurrents. Ce qui ne serait plus une surprise. Parce qu’il est le candidat d’un des principaux bailleurs de l’équipe nationale. Mais, au nom du fighting-spirit qui caractérise les Allemands, le Sénégal peut espérer quelque chose de cet homme inconnu jusqu’à mercredi dernier.

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