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«Contrairement à beaucoup, j’ai très tôt cru à la victoire du Sénégal sur la France en 2002. Je me rappelle qu’après le tirage au sort, j’avais été invité à un débat sur Eurosport avec Philippe Séguin (Ndlr : ancien président de l’Assemblée nationale française de 1993 à1997, décédé). Il ne voyait pas le Sénégal battre la France et je lui ai dit qu’on allait relever le défi.

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«Ma certitude tenait au fait que j’avais bien suivi nos joueurs qui évoluaient en Europe et qui rivalisaient avec des vedettes dans leur club et dans leur championnat. Sur un match, on pouvait réussir l’exploit de battre la France.

«Ce match, on l’a bien préparé avec Metsu. Je me rappelle que lors de la mise en place tactique, Metsu refusait de voir un attaquant entre les deux défenseurs centraux Diatta et Malick Diop. C’est une situation qu’il fallait à tout prix éviter.

«Cette victoire sur la France a renforcé la notoriété du Sénégal. On était devenu célèbre et connu en battant le champion du monde en titre.

«Je ne vais pas revenir sur ce que nous avons dit à Metsu lors du match contre la Turquie, parce que ça devait rester entre nous. En tant qu’adjoint, nous lui avions fait des suggestions, mais il ne faut pas oublier que c’est le coach qui décide. Mais le fait demeure que dans ce match on a manqué de fraîcheur physique. On a souffert par manque d’expérience»

Waasport

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