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Comparaison n’est pas raison, mais les stats font la différence. Avec ses attaquants prolifiques en Europe, le Sénégal est craint pour l’efficacité de son armada offensive en Afrique. L’effet a été un coup d’épée dans l’eau. Une gâchette en panne !  Les statistiques ont baissé de 16  buts en 2012, avec le statut de l’attaque la plus prolifique, à 8 buts avec les Lions de Giresse. Soit une unité de moins que le score de la bande à Mamadou Niang face à l’île Maurice, une raclée (7-0, record de l’équipe). Tous les visiteurs ont pris au minimum un but à Dakar : Rdc (4-2), Cameroun (1-0). A la clé, Mamadou Niang et Papis Cissé, les meilleures gâchettes,  se sont tirés avec 3 buts chacun.

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C’est après que le  secteur offensif a trainé une explicable malchance, à la suite de la Can 2012. La moyenne de 3 buts lors de ces éliminatoires n’est plus qu’un doux souvenir. La boulimie a  baissé de régime. Les attaquants ont affiché les profils bas de prédateurs, à l’image des Demba Ba, Papis Cissé, Moussa Sow. Ces deux derniers ont  redressé la barre dans les éliminatoires de la Coupe du monde 2014 et se sont signalés à la clôture des éliminatoires de la Can 2015. En illustration, le passage à vide pendant la double confrontation contre la Côte d’Ivoire, au moment des barrages. L’attaque a émargé dans ce ratio minimaliste, lui coûtant ainsi une place en Coupe du monde (3-1 à l’aller et 1-1 au retour). Une nouvelle race de buteurs s’est signalée à nouveau, Mame Biram Diouf, Sadio Mané ……

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