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Pour avoir rencontré l’Afrique du Sud à deux reprises, Bouna Coundoul est bien placé pour parler des « Bafana Bafana » contre qui le Sénégal joue, vendredi à 20 heures locales au stade de Mongomo. Il livre, dans cet entretien accordé à iGFM, sa vision de l’équipe sud-africaine et compte s’appuyer sur son expérience pour aider ses coéquipiers à prendre les trois points. Entretien.

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Comment vous préparez le match contre l’Afrique du Sud, un adversaire déjà connu?

C’est très simple, j’ai joué contre l’Afrique du Sud à deux reprises. D’abord en 2008 puis en 2012 en match amical qui s’est soldé par un score nul et vierge. Ils sont bien offensivement et techniquement. Mais on amènera la réplique. Les joueurs que j’avais croisés seront pour la plupart de ce match, ce qui peut compter avec mon expérience de  ces matchs joués contre eux.

Quel est l’état d’esprit de l’équipe en cette veille de match?

On a l’état d’esprit d’un gagneur. On veut remporter tous les matchs. C’est ça l’essentiel. Pour cela, on a déjà oublié la victoire contre le Ghana. Parce que l’Afrique du Sud n’est pas cette équipe. Ce qui est important est qu’on a assez d’expérience et tout le monde est tranquille. On est assez confiant du reste.

L’impact Physique des « Bafana Bafana » ne vous inquiète t-il pas?

Gagner est tout ce qui important. La manière importe peu. Bien gagner ou mal gagner ne compte pas. L’essentiel c’est de prendre les trois points. Parce qu’on ne dira pas qu’il a mal joué et gagner. Mais on dira que telle équipe à  tout simplement gagné. On sait bien jouer au foot. S’il faut les cogner, on le fera. On sait qu’il faut mettre la pression et de l’intensité pour s’en sortir face à cette équipe d’Afrique du Sud.

Avez-vous en tête l’idée de vous qualifier dés demain après le match contre les Sud-africains? 

On ne se dit pas ce genre de choses. On va prendre match par match, après on verra. Après le match de demain, on saura pour le reste. On a la volonté de nous qualifier et nous mettrons tous les moyens de notre coté pour y arriver.

En tant que capitaine de cette équipe, vous arrive t-il de communiquer avec les joueurs sur le terrain?

On me demande souvent pourquoi je ne communique pas. Mais personne ne sait ce qui se passe sur le terrain. L’entraîneur et les gens qui sont sur le banc savent combien je crie. Je parle beaucoup avec mes joueurs. On a une bonne relation également. Je suis derrière, donc je vois tout ce qui se passe sur le terrain. C’est pourquoi, quand je parle, tout le monde m’écoute. Depuis que je suis dans l’équipe, cela passe ainsi.

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