LE VOYAGE
«Le voyage a été très long, mais c’est comme cela que ça se passe, c’est aussi cela, les voyages en Afrique. Ceux qui viennent de Dakar ont pratiquement passé 24 heures entre les airs et les aéroports, mais nous étions déjà préparés à cela. Ce qui est important, c’est que nous sommes venus assez tôt et on aura le temps de récupérer d’ici à lundi, jour du premier match.»
LA FATIGUE DES JOUEURS
«Les joueurs également étaient bien préparés à faire face à ce genre de situation. Ils étaient avertis. Heureusement, l’Etat n’a ménagé aucun effort pour nous affréter ce vol spécial. Cela a facilité beaucoup de choses. L’équipe a voyagé dans de bonnes conditions. Il n’y a pas eu de soucis majeurs. A notre arrivée à Malabo comme à Mongomo, les autorités équato-guinéennes nous ont facilité les choses. Nous n’avons pas perdu de temps pour effectuer les contrôles sanitaires, qui sont obligatoires. La seule escale, c’était à Cotonou (Bénin) pour l’arrêt kérosène et le changement d’équipage.»
L’ACCUEIL DES SUPPORTERS
«Les Sénégalais d’ici nous ont attendus jusqu’à cette heure tardive de la nuit. Cela constituera certainement un dopant pour tous les joueurs. Cela montre, si besoin en était, combien les Sénégalais, où qu’ils soient, tiennent à leur équipe nationale. Les joueurs auront besoin de ce public pour faire la différence dans cette poule C, qui est quand même assez relevée. Ce que nous avons vu ici nous fait espérer que les jours de matches, au stade, le Sénégal aura l’avantage psychologique, grâce à l’appui des spectateurs, qui seront, on l’espère, majoritairement acquis à notre cause.»
LES FAVORIS DU GROUPE C
«Les favoris, ce sont l’Algérie et le Ghana.»
