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«Même quand j’étais gamin, je l’ai toujours dit à mon père : je n’ai pas envie d’être reconnu comme le fils de Saër Seck, mais plutôt comme Bocar Seck. Voilà, ça ne me dérange pas tant que ça. Je suis assez grand pour faire fi de tout ce qui se dit et assez mature pour faire la part des choses», déclare dans le quotidien L’Observateur, le nouveau défenseur du club norvégien de Bærum (D2) où il a signé pour 4 ans. Fils de Saër Seck, président de l’institut Diambars et de la Ligue sénégalaise de football professionnel, Seydou Bocar est déterminé à se départir de l’aura du père qui lui colle. Le jeune garçon de 24 ans de réfuter les commentaires de la presse à son sujet. «Je vis avec ça depuis 13 ans, quand j’ai intégré le centre. J’ai vu (…) dans les journaux que Zidane a décidé de faire de son fils Enzo le capitaine de l’équipe réserve du Real. Il y a des gens qui diront que c’est parce que c’est son fils, alors qu’en interne, les gens savent peut-être que le garçon le mérite. Après, s’il y a des critiques, (…) cela me donnera la force supérieure de prouver que je ne suis pas que fils de… Tout ce que je réalise c’est le fruit de mon travail. Je le mérite», se défend Bocar seck.

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