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Le Sénégal a du potentiel humain dont la majorité du groupe, notamment, les cadres, a une expérience de la Can. Un avis partagé par ces acteurs, selon qui, le panache entre jeunes pousses et cadres reste l’atout majeur des Lions. Toutefois, c’est aux techniciens de mettre ces atouts à profit. Pour Aliou Kandji, ancien entraineur de l’Us Gorée et du Jaraaf, si la gestion des matchs rapprochés qui a toujours été le problème des précédentes sélections, est maitrisée, les Lions peuvent prendre un avantage psychologique et technique sur leurs adversaires. Dans un environnement sain, sans problème de prime ni de caprices de stars, si les Lions abordent le premier match dans la sérénité, Mamadou Diallo, ancien international, parie qu’ils pourront accéder en finale de la Can 2015. «Gagner le premier match pourra redonner davantage de motivation pour la suite. Quand on trébuche d’entrée, ça sera très compliqué», a-t-il dit. On a aussi levé l’équivoque sur le statut du Sénégal dans cette compétition, au cours de la réflexion. «Le Sénégal ne peut pas être considéré comme favori dans ce groupe», a fait savoir Cheikh Sidy Ba, ancien international. «Le Sénégal a du potentiel, mais son parcours, ces dernières années, est très en deçà du vécu de l’Algérie et du Ghana. On ne peut qu’être outsider et non favori», a précisé l’ancien sociétaire de la Jeanne d’Arc et du Jaraaf. Les autres intervenants étaient Souleymane Boun Daouda Diop, directeur de la haute compétition, le professeur Oumar Dioume de l’Ifan, Ameth Dieng de l’Université Gaston Berger de Saint–Louis, Yatma Diop, ancien international, Aliou Kandji, ancien coach de l’Us Gorée et du Jaraaf.

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