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En direction de la Can 2015 prévue dans deux semaines en Guinée Equatoriale, Papy Djilobodji considère d’abord qu’«il n’y a pas de groupe de la mort… Tous les groupes sont difficiles et se valent. Et puis aujourd’hui, c’est tout le monde qui joue bien au foot». Par conséquent, «il faut se battre, se donner à fond pour essayer de sortir de notre groupe et voir autre chose». Et d’assurer : «mes coéquipiers et moi seront prêts. Même si nous dormons à même le sol, le lendemain nous serons prêts pour le combat».